

Gabriel Erhart
Auteur, saxophoniste et flûtiste professionnel, ex-enseignant en Conservatoire, il s’estproduit dans différents festivals de jazz (Tourcoing, Thiers, Côte d’opale, Malterie, Club dejazz de Dunkerque, Petit faucheux…) et pour des ciné-concerts en Égypte.
Marie-Hélène Fasquel
Professeure agrégée d’anglais, chroniqueuse, jurée de prix littéraires (jurée du Grand Prix des Lectrices Elle 2020, Prix des Lecteurs du Livre de Poche 2022…), conférencière
(TEDxRennes), elle est auteure et co-auteure de divers ouvrages. L. Delahousse lui aconsacré une émission sur France 2.
Dissonances de Gabriel Erhart et Marie-Hélène Fasquel.
Une belle harmonie dans ces « Dissonances »
J'ai beaucoup aimé ce recueil de nouvelles qui m'a incité à ré-écouter plusieurs morceaux de musique. Les connaissances musicales des auteurs imprègnent ces nouvelles et on ressent très fort combien ce bel amour les porte tous les deux.
Le style est fluide, clair et sert le propos, ça sent le vécu, j'adore…
Chaque nouvelle nous informe de façon légère sur des sujets inconnus, riches en vocabulaire, que ce soit la pêche au filet carré en Vendée, la description de la drague, une plombée, un mur de tuffeau, les varennes de peupliers, les aspics zinnikeri pour ne prendre que CANADA, une de mes nouvelles préférées dont la chute m'a décontenancée.
NU-TÊTE m'a impressionnée.
« Depuis quelques heures, il était devenu l'Homme Fort et il suivait le Sujet. »
Le docteur Colet s'est incrusté dans mon esprit avec un frisson tenace. L'univers est bien planté au niveau médical, documenté, crédible.
Jérôme Colet excelle dans son métier et va aux champignons, j'adore ...
Cette dépersonnalisation de l'Homme Fort envers "Les Sujets" m'a glacée tant elle m'a paru crédible et j'ai ressenti "la chute" comme une délivrance.
On aimerait prendre le temps de découvrir Rudolf Steiner, libre à nous puisqu'il est cité.
Ce très beau passage dans LES GRUES a tout de suite retenu mon attention : « Simon ne la vit pas tout de suite à cause de la fontaine hérissée de robinets, mais dès qu'elle se retourna, il comprit qu'il devait surmonter son angoisse et lui parler. Il la suivit du regard. Attentivement. Mais il baissa les yeux quand elle remarqua son manège. Il n'avait toujours pas compris que les femmes savent quand on les observe. »
Alors, lorsque ces lignes ressurgissent avec la pianiste, j'ai eu une sensation de plein. La boucle était bouclée comme souvent dans les textes de grande qualité.
LA PASSION SELON SAINT MATTHIEU, terrible retour de boomerang, froid dans le dos.
Toutes les nouvelles sont travaillées, bien construites, originales.
Je ne peux pas parler de toutes, mais chacune d'elles présente un intérêt pour le lecteur.
Une belle découverte pour un genre que j’affectionne particulièrement.
Non, la nouvelle n’est pas en voie de disparition, Marie-Hélène FASQUEL et Gabriel ERHART en sont de talentueux représentants / auteurs.
Pour moi, une nouvelle offre toujours un plaisir de lecture particulier : la saveur de l'urgence.
Pour l'écrivain, il s'agit d'installer rapidement une intrigue, des personnages, des décors, une atmosphère, des ressorts cachés. Comme dans le poème de Paul Fort, il faut « faire la pige au temps » pour que ces histoires aient la même intensité que celle des romans.
Aguerris à cet art particulier, les auteurs maîtrisent de nombreux univers et font preuve d'un sens aigu de la chute, pour notre plus grand bonheur de lecteur.
Quelle fêlure quasi indécelable s'est-elle insinuée dans ces quotidiens à l'apparence tranquille ? Quels signaux impalpables avons-nous négligés, alors qu'un suspense discret, par petites touches, nous conduisait vers l'irrémédiable ? Et même si nous avons quelquefois trouvé des indices, pourquoi n'avons-nous jamais deviné l'issue, quelquefois choquante, de tous ces récits ?
La musique, domaine de prédilection de Gabriel Erhart, est ici d'une grande importance. Elle est le fil rouge de ces neuf récits qui renvoient à des écoutes musicales rigoureusement choisies en lien avec le contexte des histoires. Beaucoup d'harmonie dans ces dissonances !
https://www.babelio.com/livres/Erhart-Dissonances/1181823/critiques/3931775
Un recueil de textes autour d'un fil conducteur : la musique. Pas besoin d'être mélomane pour se laisser embarquer par la petite musique de ces nouvelles dont la fin est toujours une surprise. le style fluide met la musique à la portée de tous et nous prend pas la main : une mention particulière pour les nouvelles "Canada" et "Saint Mathieu" qui distillent une ambiance noire acidulée qui prend à revers, entraînant le lecteur dans l'effroi après coup. Un livre qui se dévore de bout en bout !
https://www.babelio.com/livres/Erhart-Dissonances/1181823/critiques/2061473
Un magnifique recueil composé de neuf nouvelles, un fil conducteur : la musique. Une couverture qui nous plonge parfaitement dans cette ambiance. J'ai passé ma lecture avec différents titres en tête et dans les oreilles pour accompagner ma lecture.
J'ai voyagé pendant ma lecture dans une certaine harmonie entre les plumes de Marie-Hélène et de Gabriel ! Une exploration littéraire depuis une femme vivant avec sa solitude, en passant par le musicothérapeute adepte d'une certaine théorie pour finir sur le voilier... On explore au fil des pages ce monde qui regorge de musique. On découvre, on aime et on se passionne. Les nouvelles sont toutes différentes les unes des autres et pourtant elles m'ont fait voyager de la même façon. J'ai eu un énorme coup de coeur pour Nu-tête , son personnage si énigmatique que l'on souhaite tourner les pages pour en savoir davantage sur lui. Pour cet univers mêlant la folie et ce côté sombre que j'aime tant découvrir dans les livres. Pour ces indices qui te font découvrir une fin inattendue, surprenante, mais qui te donne dix fois plus envie de lire cette plume qu'ont nos deux personnages. Pour son personnage énigmatique, médecin et musicien, mais aussi à cause de cette ambiance étrange où rôde la folie... Cet univers sombre et parsemé d'indices, jusqu'à sa fin surprenante. Chaque nouvelle à sa particularité qui t'invite dans son petit monde avec des fins surprenantes, mais l'accord parfait, c'est que l'on en redemande encore et encore !
https://www.babelio.com/livres/Erhart-Dissonances/1181823/critiques/2108526
Je remercie la maison d'édition pour l'envoi de ce recueil de nouvelles. Nous avons 9 récits courts avec pour thème principal la musique. Tout ce qui est autour de cette passion, de ces moments qui doivent être bons, la plupart du temps. Mais parfois, si la musique adoucit les mœurs, elle est également synonyme de problèmes. Les notes volent dans les airs, laissant des instants fugaces que chacun peut interpréter comme il le désire. Classique ou non, nos auteurs s'amusent à nous entraîner dans leur passion commune mêlant la musique et l'écriture. Leurs connaissances sont impressionnantes, mais en relisant le dos de couverture, il est certain que nous avons affaire à des professionnels en la matière. J'ai adoré leur façon de mettre en lumière des morceaux plus ou moins connus selon notre propre goût, nos propres intérêts. Cela m'a rappelé des souvenirs, lorsque j'étais enfant j'écoutais des 33 tours (eh oui !) et que mon père adorait tchaikovsky. Des instants intéressants ou nous étions tous assis à ne rien faire juste écouter et ressentir ce que nous avions tous en commun : le fameux mange-disque.
9 nouvelles composent ce recueil et si avec certaines je n'ai pas tout suivi, d'autres m'ont donné le sourire et surtout que que j'ai adoré. 3 ressortent du lot pour ma part, même si toutes ont un petit quelque chose. Désaccord parfait ou comment un directeur de conservatoire retrouvé mort. C'est un meurtre au vu de la façon dont il a été retrouvé et pour une première enquête de notre lieutenant Maryse Verneuil elle a de quoi faire. Qui a bien pu faire cela ? de nombreux personnages qui ont reçu leur lettre de démission, à moins qu'il ne s'agisse de quelque chose de plus... personnel ? Un côté burlesque dans la façon de répondre au lieutenant, de se tenir d'une certaine manière, comme si ce monde du conservatoire cachait et vivait autrement que le reste du monde. Peut-être est-ce le cas, qui sait ? Vient ensuite, Ker-Néant, impossible de la laisser de côté avec son histoire de bateau, de groupe de musique, de Bretagne bien entendu et surtout de trafic. La fin tombe comme un cheveu sur la soupe de poissons qu'il vaut mieux ne pas manger pour ce coup. Des amis, des histoires, un secret et cette chute qui nous fait nous poser des questions sur nous-même. Qu'aurions-nous fait à sa place ? Et la dernière que je mets sur le podium, La passion selon Matthieu. Alors celle-ci, je ne saurais pas vous expliquer comment, mais elle est à la première place. En gros je dirais tel est pris qui croyait prendre, même si ce n'est pas tout à fait cela. Je ne peux rien dévoiler, mais je l'ai adoré !
9 histoires qui apportent toutes un petit truc en plus, même si, comme je l'ai indiqué plus haut, certaines sont restées fermées à mon esprit. La plume incroyable, fournie, apportant un plus aux divers récits. Des éléments me font dire qu'il y a du vécu, pas dans tout, bien entendu, mais je pense une bonne partie. bien entendu aucun d'entre eux n'a passé le cap de se suicider, par contre la musique présente nous montre vraiment qu'elle peut être bénéfique ou le contraire. Chaque personnage rencontré lors d'une simple visite, vérification, aide particulière, peu importe, chacun d'entre eux ne nous laisse pas sans ce petit quelque chose. Une aide providentielle qui apparaît comme pesante, une envie de bien faire qui nous montre du doigt, des descriptions de lieux enchanteurs qui devraient le rester si et seulement si les notes étaient les bonnes... Les auteurs s'amusent avec les mots, les mêlant à la symphonie de leur plume. Quelques frissons parviennent, qu'ils soient de joie, de tristesse, de désespoir, de frustration ou au contraire de soulagement. Certains choix sont totalement loufoques, tandis que d'autres semblent si logique que cela en est effrayant. Sommes-nous devenus si égoïstes par moment ? Je le confirme. le silence est roi, la musique qui n'est pas choisie par nous-même est le diable en personne. Et nos oreilles, nos tympans délicats, nos doigts qui se crispent, nos mains qui s'agrippent fort et cette voix qui ne demandent qu'à hurler ? Heureusement, nous avons également le contraire, avec la douceur, l'instant de grâce qui nous plonge dans un rêve éveillé. Qui n'a jamais dis que la voix de notre voisine, cousine, soeur, peu importe était détestable ? Ce fameux silence obtenu est bénéfique, pour celui qui l'obtient.
Le retour de bâton est génialement trouvé, rempli de sérénité ou oserais-je dire d'un coup de pinceau ? Chaque nouvelle a un travail de construction important, un équilibre entre les mots et les maux, la musique qui peut apporter du réconfort ou de la peine. Chaque acte a des répercussions et vouloir bien faire et bien différent de savoir bien faire. Cela peut agacer certaines oreilles et dans ce cas, gare à vous ! Nous sommes tous maîtres de notre destin, en théorie, mais cette musique si douce à l'oreille du voisin est-elle la même pour nous ? Cacophonie en vue ! Il suffit de peu pour qu'une musique devienne un bruit ambiant, un mauvais son, un entêtement dangereux pour la santé mentale, car il faut bien comprendre que si certaines thérapies sont capables d'user de sons, est-ce que le cas n'est pas également véridique ? Plusieurs thèmes sortent du lot et il est vrai que j'ai apprécié particulièrement celles qui sont de base thriller ou policier.
En conclusion, je pense qu'il s'agit d'un recueil qui parlera à tout le monde, d'une manière ou d'une autre. Les nouvelles sont courtes, piquantes par moment, plus raffinées à d'autres. Une écriture fluide, des accords parfaits et imparfaits mêlés de maux en tout genre. Nous plongeons au cœur de certains rites, de certaines mémoires et si je n'ai pas trouvé toutes les subtilités dans chacune d'elles, j'ai grandement apprécié l'écriture. Merci pour ces moments musicaux, cette fameuse rencontre peu harmonieuse de sons, de syllabes ou de mots, tout comme ce manque d'harmonie ou de désaccord entre des idées, des caractères, des sentiments. Nous avons tout cela en quelques pages, à vous de le découvrir.
https://chroniqueslivresques.eklablog.com/dissonances-gabriel-erhart-marie-helene-fasquel-a215073715
Le recueil de nouvelles "Dissonances", écrit par Marie-Hélène Fasquel et Gabriel Erhart, est une exploration captivante des liens entre la musique et les destins humains. À travers des portraits variés de musiciens, chaque nouvelle illustre comment la musique peut influencer des vies, parfois de manière imprévisible. Les récits évoquent des thèmes tels que les addictions, les troubles mentaux et les névroses, tout en créant une tension dramatique semblable à une symphonie bien orchestrée. L'oeuvre propose ainsi une plongée dans les profondeurs psychologiques de ses personnages, révélant la complexité de leurs trajectoires.
Le recueil s'adresse à un public amateur de littérature contemporaine et de récits psychologiques, avec une sensibilité pour l'art musical et les relations humaines. Je le recommande pour les lecteurs appréciant les histoires courtes mais marquantes, avec une forte charge émotionnelle et des réflexions sur l'impact de l'art sur nos vies.
https://www.babelio.com/livres/Erhart-Dissonances/1181823/critiques/4259145
Une femme dans une solide solitude, un verset de l'ancien testament d'une nouveauté qui fait frémir, un musicothérapeute adepte d'une théorie corpusculo-ondulatoire... musclée. Mais la musique adoucit les mœurs. Bifurcation vers Belle-Ile en mer avant de prendre la direction de l'Orient où un "charmeur" de serpents très spécial sévit. On descend dans les octaves, les graves - le chant du cygne -, et puis le regard d'un jeune ouvrier est capté par la "jolie jeune femme du self" et on se dit que la musique adoucit les moeurs. Des bémols, des bécarres, des écarts... Quelle tessiture ! Vous avez compris « Dissonances » est un magnifique roman choral.
https://www.babelio.com/livres/Erhart-Dissonances/1181823/critiques/2099568
Voici un recueil composé de neuf nouvelles, toutes liées par un fil conducteur : celui de la musique.
Mais il ne s'agit pas que de cela, ici ! Entre les « dissonances » et le « désaccord parfait », le lecteur voyage... pas seulement à travers les sons évoqués, mais aussi bien dans un voilier breton que dans une cité artisanale, ou encore au conservatoire, et même un peu plus loin, jusqu'en Egypte...
On explore au fil des nouvelles, le monde singulier des musiciens
Et surtout, bien sûr, il y a les histoires : toutes différentes les unes des autres, mais toutes écrites d'une plume précise ; des histoires qu'on lira où on veut, au coin du feu, en croisière sur le Nil, ou sous sa couette... Pour ma part, ce fut sur le canapé de mon salon, confortablement installée... et j'avoue avoir eu petit coup de coeur pour trois d'entre elles :
- « Nu-tête », pour son personnage énigmatique, médecin et musicien, mais aussi à cause de cette ambiance étrange où rôde la folie... cet univers sombre et parsemé d'indices, jusqu'à sa fin surprenante.
- « Ker-néant », parce que le lecteur y est baladé, dans tous les sens du terme : aussi bien sur le voilier que dans des fausses pistes, qui bifurquent brusquement, et j'adore ça !
- Enfin, j'ai particulièrement apprécié l'exotisme de « Mehndi », où la solidarité entre musiciens est joliment mise à l'honneur, et où la chute surprend avec bonheur, une fois de plus.
Les chutes sont d'ailleurs le point fort de l'ensemble de ces nouvelles !
https://www.babelio.com/livres/Erhart-Dissonances/1181823/critiques/2096857
Imaginez le monde, l'univers tout entier comme une immense musique. Qui serait le chef d'orchestre ? Chacun de nous aurait son rôle, sa partition à écrire et inventer, à interpréter.
Ce recueil de nouvelles a pour thème cette musique comme musicalité infinie des émotions positives ( la joie, le rêve, la créativité, l'amour) ou négatives (noirceur de l'âme, colère, peur, hypersensibilité). Tour à tour donc, chacun joue ses notes dans la recherche de l'accord parfait. Et certains s'accordent plus que d'autres. Dissonances explore les mille et une variations de l'humain. Quand la musique fait lien, quand elle soigne et brise la solitude d'une personne, quand elle se fait douceur ou exacerbe au contraire les émotions les plus sombres.
Un recueil tel une playlist parfois inégale où certains morceaux me plaisent plus que d'autres, rien de plus normal en soi ;)
Ce que j'aime dans l'exercice de la nouvelle, je le répète, c'est cette faculté de l'auteur à vous poser une situation, vous happer en quelques lignes et vous tenir jusqu'au dénouement, au twist final ! De très belles surprises notamment à travers Nu-tête, Canada, Dies Irae ou Ker-Néant, nouvelles écrites dans le genre policier ou thriller !
Du Requiem de Mozart aux Doors, de Chopin à Coltrane, laissez-vous embarquer dans ces histoires qui forment une playlist inattendue et surprenante, une palette chromatique des émotions humaines.
J’ai adoré me plonger dans ces très courtes nouvelles. Suivre ces personnages, ces musiciens, dans des lieux, des rues, qui m’ont parfois été très familiers. Les chutes sont souvent inattendues, surprenantes. Et lorsqu’elles le sont moins, on termine malgré tout l’histoire avec un sentiment de satisfaction, le plaisir de lire une fin que l’on souhaitait. J’ai trouvé que l’écriture était fluide et le rythme parfait. Il y a du suspens, de la tendresse, de l’émotion, chaque nouvelle est tout à fait singulière. Difficile d’en choisir une qui sort du lot, tant je me suis régalé. Bravo et merci aux deux auteurs pour ce bel ouvrage !
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Les nouvelles sont très variées, de la tranche de vie au polar parsemé de suspense. Tout y est. L’exercice de la nouvelle n’est pas simple, la chute peut faire monter le récit en apothéose ou, au contraire, le faire retomber comme un soufflé.
Les histoires sont assez inégales. Certaines sont bien amenées, parfaites, car elles embarquent le lecteur et la chute est excellente. Tandis que d’autres sont présentées timidement, une bonne intrigue s’annonce, on la sent délicieuse, le lecteur est conquis ! Mais (comme il faut bien un « mais »), à la fin… c’est la faim ! Le lecteur peut avoir le sentiment comme quoi l’histoire pouvait donner lieu à un excellent roman.
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Articles sur Le Livre des douze heures de la nuit (Éditions Ex Æquo).
Une "fresque trépidante, truffée de coups de théâtre et de rebondissements".
C’est à regret et un peu orpheline (comme à chaque fois que je termine un bon livre) que j’avais refermé le précédent ouvrage de nos auteurs, Les Naufragés de la Morrigane.
Heureusement, l’aventure recommence ! Et je retrouve avec bonheur ces adolescents si attachants, astucieux et surtout courageux !
Du courage, de l’audace et de l’optimisme, il va leur en falloir pour affronter les défis de cette nouvelle équipée, richement documentée, fresque trépidante, truffée de coups de théâtre et de rebondissements, au rythme haletant de nos bandes dessinées préférées.
Pourtant, il ne devait s’agir que de simples vacances, maritimes certes, mais tranquilles et bien méritées. De bonnes en mauvaises surprises, nos jeunes Bretons font des rencontres inattendues, voient du pays, même si c’est contre leur gré, entraînés dans une chasse au trésor pleine de périls...
On sent qu’ils ont grandi, que leurs liens se resserrent et qu’ils ont appris à compter davantage sur leurs propres forces. Les caractères s’affirment, l’évolution des interactions ajoute un charme supplémentaire à ce superbe opus, et, en toile de fond, vivante, fascinante, mystérieuse, l’Égypte n’est pas le moindre de nos régals de lecture.
Un prochain chapitre s’ouvrira bientôt, je l’espère, et je suis très impatiente de le découvrir !
Sur Babelio, https://www.babelio.com/livres/Fasquel-Le-livre-des-douze-heures-de-la-nuit/1754575/critiques/4181478
"Merci pour ce superbe récit ! J'ai adoré !"
Le Livre des douze heures de la nuit est le second tome des aventures des héros et héroïnes des Naufragés de la Morrigane. Il peut se lire indépendamment de ce premier tome, mais quel bonheur de lire les deux à la suite ! Ces jeunes Bretons me manquaient déjà ! Quand je lis un livre, il est important que je m'attache aux personnages et là, mission 100% réussie ! J'ai adoré le fait que cette fois-ci, Soizic soit mise en avant et qu'on en apprenne beaucoup plus sur elle (mais aussi sur ses amis). Elle est entreprenante, vive et efficace et est la véritable héroïne de ce tome. Un vrai modèle pour nous, les filles, qui sommes souvent reléguées aux seconds rôles en littérature.
Les auteurs n'ont pas ménagé les personnages, car ils vont de voyage en voyage, découvrent l'Egypte, le Soudan, la Corse et doivent faire face à de nombreux dangers. Mais ils sont courageux et, ensemble, ils relèvent tous les défis.
Merci pour ce superbe récit ! J'ai adoré !
https://www.babelio.com/livres/Fasquel-Le-livre-des-douze-heures-de-la-nuit/1754575/critiques/4201620
"Sensationnel"
J’avais hâte de retrouver mes jeunes héros, et cette suite plus étoffée a dépassé toutes mes attentes, tant j’ai été captivé par une intrigue bien ficelée, qui nous balade de pays en pays (Égypte, Grèce, Soudan). Le bateau reste le moyen de transport préféré des cinq Bretons, ce qui est un clin d’œil à cette région – la Bretagne – où la mer a toujours eu tellement d’importance. Pour autant, dans ce récit, on ne peut pas parler uniquement d’aventures en mer puisqu’en réalité, l’action se déroule essentiellement sur terre, ce qui nous réserve des surprises incroyables, jusqu’au dénouement (que, sincèrement, je ne voyais pas venir), et qui est très émouvant.
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"Aventure, suspense et surprises nous guettent sans arrêt…"
J'avais vraiment adoré Les naufragés de la Morrigane, et j'attendais la suite avec impatience, tout en me demandant comment ça pourrait être aussi bien. Et bien, franchement, je n'ai pas été déçu. Dès le début, on est embarqués et on ne peut plus lâcher le bouquin. Tout de suite, ma copine m'a demandé de le lui passer, et du coup je l'ai presque lu d'une seule traite ! J'ai envie de raconter toute cette histoire, mais ce serait dommage pour vous ! À mon avis, il ne faut rien révéler et se laisser entraîner par les auteurs qui sont des conteurs nés ! Aventure, suspense et surprises nous guettent sans arrêt… Vivement le troisième tome !
https://www.babelio.com/livres/Fasquel-Le-livre-des-douze-heures-de-la-nuit/1754575/critiques/4195221
"Entre péripéties, rebondissements, suspense et voyage […] on ne voit pas les pages filer."
Quelle merveilleuse aventure j’ai vécue avec ce sacré périple de nos 5 jeunes protagonistes. [...]
Entre péripéties, rebondissements, suspense et voyage [...] on ne voit pas les pages filer.
Beaucoup d’émotions sont au rendez-vous et on s’attache hyper vite à nos jeunes amis, une plume fluide et je précise que ce roman est écrit à quatre mains et c’est le deuxième récit d’aventures avec ces personnages, mais aucun problème de compréhension malgré un clin d’œil au premier livre que je n’ai pas lu.
J’ai adoré la page qui fait référence au titre et où on comprend pourquoi ce dernier s’intitule ainsi.
Les vrais plus de ce roman sont les thèmes abordés, à savoir : la drogue, l’archéologie, la navigation sur un voilier, l’aventure, un secret de famille, un lexique sur les termes maritimes en fin d’ouvrage et une révélation explosive dans l’épilogue.
Si tous ces thèmes sont vos dadas, alors, foncez, car ce roman est fait pour vous !!!
Vous l’avez compris un vrai plaisir de lire ce livre.
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"Il y a de nombreux rebondissements et on ne s'ennuie pas une seule seconde"
Le livre des douze heures de la nuit est un roman d'aventures pour adolescents.
Il s'agit de la suite de "Les Naufragés de la Morrigane". Il peut se lire indépendamment du un, mais vu la qualité de l'ouvrage, autant le lire en premier :)
Alors qu’ils ont vécu des moments mouvementés sur la Morrigane, Soizic, Corentin, Gaël, Tiphaine et Alan se retrouvent de nouveau en mer, mais cette fois-ci sur un voilier.
Soizic est à la barre, logique étant donné que c’est le voilier de son papa :) Même s’ils sont encore jeunes, ils ont la tête sur les épaules et les adultes leur font confiance.
J’ai aimé retrouver ces jeunes gens, toujours aussi sympathiques. Ils ont chacun leur caractère, leur façon de voir les choses et le lecteur s’attache facilement à eux. Les ados pourront sans problème s’identifier à l’un ou l’autre.
Alors qu’ils s’attendaient à naviguer tranquillement, ils vont faire face à de sacrés imprévus !
Ils vont s’entraider, faire force commune. Ils ont grandi depuis le premier tome et on sent qu’ils sont plus matures, ont un peu plus confiance en eux.
Ensemble, ils vont affronter de sacrés dangers.
Je ne vous dévoilerai pas lesquels, il vous faudra le lire pour en apprendre plus ;)
Il y a de nombreux rebondissements et on ne s’ennuie pas une seule seconde. Les pages se tournent toutes seules, car on a envie de savoir comment cette aventure va se terminer.
On voyage beaucoup, et même si ce n’est pas de tout repos, c’est passionnant à suivre.
Le livre des douze heures de la nuit est un très bon roman pour ados et adultes amateurs de ce genre d’ouvrages.
Je vous le recommande avec plaisir et le note cinq étoiles.
https://www.babelio.com/livres/Fasquel-Le-livre-des-douze-heures-de-la-nuit/1754575/critiques/4204145
Un roman vraiment chouette pour des ados ! L’histoire suit un peu un ancien roman coécrit aussi par Marie-Hélène Fasquel & Gabriel Erhart, « Les naufragés de la Morrigane », que j’avais bien aimé.
Ce récit nous plonge dans une traversée initiatique où le voyage physique devient métaphore du passage à l’âge adulte. Le scénario mêle habilement réalisme maritime, aventure (...), tout ça, dans une atmosphère lumineuse et mystérieuse.
Une plume poétique et fluide avec un mystère bien construit du début à la fin dans une ambiance immersive au creux de la mer. Ce roman jeunesse sort des sentiers battus du genre en nous invitant dans une aventure rocambolesque et nous mène vers une réflexion portée par une écriture sensible et sincère. À recommander aux adolescents, mais aussi aux adultes (...).
https://www.amazon.fr/gp/customer-reviews/R3EH1IO0CNSHYI/ref=cm_cr_dp_d_rvw_ttl?ie=UTF8&ASIN=B0DKNDVCCG
"Un livre qui réserve pas mal de surprises !"
Ce livre est plus spécialement destiné aux jeunes lecteurs, dès 11 ou 12 ans.
C'est déjà le deuxième ouvrage dans lequel on croise cinq jeunes aventuriers Bretons parmi lesquels Soizic tient un rôle plus important que celui quel les livres d'aventures réservent aux filles.
L'intrigue est bien ficelée et même si les gamins nous mènent en bateau, c'est sur un voilier. Les termes maritimes sont bien expliqués dans un glossaire en fin d'ouvrage si on est passionné.
On est sur l'eau mais aussi très souvent sur la terre ferme et on découvre l'archéologie en Egypte, en Grèce, au Soudan.
C'est un livre qui réserve pas mal de surprises et des thèmes comme la drogue, les secrets de famille y sont abordés.
J'ai bien aimé et je conseille ! Merci Babelio, la masse critique et l'éditeur.
https://www.babelio.com/livres/Fasquel-Le-livre-des-douze-heures-de-la-nuit/1754575/critiques/4282570
"un roman d'aventure captivant".
Le livre des douze heures de la nuit de Marie-Hélène Fasquel et Gabriel Erhart est un roman d’aventure captivant et une lecture intéressante pour les adolescents.
On suit un groupe d’adolescents embarqués dans une expédition en mer qui, malgré des débuts paisibles, tourne rapidement à l’épreuve. J’ai apprécié la dynamique entre les personnages, leur maturité croissante et leur capacité à faire face ensemble à des défis imprévus.
Le récit est rythmé, avec des rebondissements nombreux, et le cadre maritime apporte un vrai dépaysement. […] c’est un roman agréable et bien écrit, que je recommanderai en lecture ados.
https://www.babelio.com/livres/Fasquel-Le-livre-des-douze-heures-de-la-nuit/1754575/critiques/4234076
Interview de Zoé, une jeune lectrice :
Qu’est-ce qui t’a le plus surprise dans ces récits ?
Dans Les Naufragés, l'attente au port m'a beaucoup surprise. Le fait que les adultes ne soient pas présents à l'arrivée des jeunes paraît bizarre et montre que les adultes manigancent quelque chose.
Dans Le Livre des douze heures, c'est que le père de Soizic travaille pour des malfaiteurs.
Aimerais-tu vivre le genre d’aventures que nos personnages vivent ? Pourquoi ?
D'un côté, oui car j'aime bien l'aventure et que je ferais beaucoup pour sauver mes amis. D'un autre côté, non car tout le long des deux histoires, leurs aventures sont vraiment très dangereuses.
Quel est ton personnage préféré ?
En fait, dans les deux livres, c'est Soizic que je préfère pour son courage à tout épreuve et sa grande fidélité envers ses amis.
Quelle est ta scène préférée dans chacun de ces récits ?
Dans Les Naufragés de la Morrigane, le meilleur moment pour moi c'est quand Soizic met le feu au bâtiment, dans lequel ils sont prisonniers, pour s'évader.
Dans Le Livre des douze heures de la nuit, c'est quand toute la bande d'amis se retrouve sur le port de Marseille pour partir faire le tour de la Corse pendant une semaine. Les retrouvailles entre amis, la chance qu'ils ont de partir sur un bateau pour la Corse et la joie de vivre des moments ensemble, tout ça est très excitant.
As-tu envie de lire la suite de ces aventures que nous sommes en train d’écrire ?
Ah oui !
As-tu déjà fait du bateau ?
Oui, car mon papa a le permis bateau et nous a déjà emmenés sur le lac de Sanguinet en famille.
Est-ce que la mer est un milieu qui t’attire ?
Oui, j'adore nager.
Le mot de la fin.
J'attends avec impatience le 3ème tome 🤩







